Affaires sociales, questions intimes
Existe au format livre et ebook
La presse en parle
« … un texte dans lequel il aborde l'intervention des politiques publiques dans l'intimité des gens » Le Télégramme
Présentation du livre
Les affaires sociales sont collectives, institutionnelles, syndicales, politiques tandis que les questions intimes sont individuelles, privées, sexuelles, subjectives. Des disciplines spécialisées les étudient, des praticiens y interviennent. Mais dans le réel, ces affaires et ces questions ne sont nullement étanches les unes aux autres. Elles se recoupent, s’interpénètrent, s’excluent et
s’hébergent réciproquement.
Huit cas typiques le montrent : la vieillesse, la victimologie, la folie, le suicide, la santé, le projet, l’innovation sociale, l’objectivité et la non-neutralité.
Au terme (provisoire) de cette investigation sérieuse et menée avec humour, les affaires sociales s’avèrent aussi privées que les questions intimes se révèlent idéologiques. Les savoirs spécialisés deviennent moins dupes de leurs présupposés. Et les professionnels davantage étayés dans leurs pratiques concrètes.
Sommaire de l'ouvrage
Mode d’emploi, en manière de préface. Déconstruire la vieillesse. Tous des victimes ? Ponctuations sur l‘idéologie victimaire. Cachez cette folie que je ne saurais voir ! Penser le suicide ? Nécessaire, souhaitable, impossible : la santé et ses paradoxes. Dialectique du projet : trois dimensions, deux coordonnées, une logique. L’innovation sociale : c’est-à-dire ? Objectivité indispensable, neutralité impossible.